Henri Bergson a dit « Agir librement c’est prendre possession de soi ».
En se reconnectant à ses besoins profonds, on permet à notre cœur de nous guider. De laisser le mental de côté, car le cœur sait.
Être libre et sortir de sa cage - même si c’est nous-mêmes qui l’avons construite, pensant que c’était ce que nous voulions - est un acte d’une très grande puissance.
Je le sais, je l’ai vécu !
En mai 2016, en rentrant d’une journée complète d’un coaching d’urgence, en plein pendant mon #burnoutparental, j’ai vu clairement la cage dorée dans laquelle je m’étais enfermée.
J’avais coché toutes les cases : job épanouissant, mariée à un homme gentil, propriétaire de notre appartement à Caluire et Cuire et jeunes parents déboussolés de jumelles de 3 ans, nées d’une #FIV.
Et pourtant, j’étais en train de crever à l’intérieur.
Pour tout vous dire, j’avais attrapé le virus des nourrissons Pieds-Mains-Bouches. La peau de mes mains et de mes pieds avaient cloqué et partaient en lambeaux !
Je me souviendrai toujours de ces mots de mon coach Philippe :
« Tu ne vois pas que tu es en train de craquer ?! Ton corps est en train de hurler ! » C’est vrai que c’était très douloureux - encore une fois clouée au lit à ne plus pouvoir marcher.
Il avait raison. Je m’énervais tout le temps après mes filles, car je n’arrivais plus à contenir mon mal-être intérieur. Ce monstre traumatique qui m’engloutissait peu à peu.
En juin 2016 j’ai fait pêté cette p… de cage dorée ! Personnellement et professionnellement ! Reset complet ! Un choix de survie !
Hey les mamans, si j’ai pu le faire, vous pouvez le faire aussi !
Ou vous pouvez aussi réajuster les choses si elles sont encore acceptables pour vous.
Chacun son chemin et je peux vous accompagner à le construire.
Comments